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Résumé d »un éternel Treblinka » de Charles Patterson par Emmanuel Hubaut : Cet ouvrage est l’œuvre d’un Docteur en Histoire à l’Université Columbia de New York et c’est à ce titre qu’il nous raconte à travers l’histoire de l’humanité notre rapport avec les animaux, et au-delà de celui-ci avec les plus faibles ou ceux que l’on a opprimé (les esclaves, les noirs, les juifs, les femmes, les handicapés, etc.). Il a également écrit des ouvrages sur la Shoah et sur le mouvement des droits civiques aux Etats-Unis. L’auteur défend la thèse selon laquelle l’oppression des animaux sert de modèle à toute forme d’oppression. Il rappelle le mot d’Adolf Hitler: « Celui quine possède pas le pouvoir perd le droit à la vie » et nous fait comprendre que le processus d’anéantissement de l’opprimé commence par sa « bestialisation » afin de rendre celui-ci possible.

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  • Guide à l’intention des nouveaux végétariens: Ce guide est une traduction-adaptation d’un document du Physician’s Committee for a Responsible Medicine,(PCRM) un groupement de médecins étasuniens fondé en 1985 et dirigé par le Dr Neal Barnard. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour équilibrer votre régime.
  • « Livestock’s long shadow »,d’après le rapport FAO ( 400 pages), il apparaît que les activités d’élevage constitueraient une source majeure des problèmes d’environnement actuels et futurs : gaz à effet de serre – utilisation des ressources en eau- pollution de l’eau –  réduction de la biodiversité végétale et animale…D’ici 2050, la demande mondiale de protéines animales va doubler compte tenu de l’augmentation de la population (plus de 50 %), de l’urbanisation galopante et de la croissance du pouvoir d’achat en Asie et au Moyen-Orient notamment.Dès lors, comment doubler la production de viande et de lait sans augmenter la pression sur l’environnement ? D’autant plus que l’on assistera à des concurrences entre secteurs quant à l’occupation du territoire et à la destination des productions végétales vers l’alimentation humaine, l’alimentation animale ou les utilisations non alimentaires (biocarburants).

    • Rapport sur les conditions d’élevage des poulets (pmaf):Les preuves scientifiques montrent clairement que les méthodes industrielles d’élevage des poulets de chair infligent à ces derniers de sérieux problèmes de santé et de bien-être. La recherche d’un rythme de croissance toujours plus accéléré se traduit par de douloureuses malformations des pattes et des défaillances cardiaques chez les poulets de chair, ainsi que par une sévèreaz restriction de nourriture chez les oiseaux reproducteurs. De surcroît, les volailles vivent souvent dans des hangars surpeuplés, ce qui les expose à des lésions cutanées, des températures trop élevées et des niveaux de pollution atmosphérique malsains.
    • Rapport de l’Association Américaine de Diététique et des Diététiciens du Canada : (ADA) Conclusion du rapport, les régimes végétariens menés de façon appropriée sont bons pour la santé, adéquats sur le plan nutritionnel et sont bénéfiques pour la prévention et le traitement de certaines maladies.
    • « Nous mangeons du pétrole »... Aujourd’hui il est possible de dire que nous mangeons du pétrole. Nous constatons que l’idéologie du libre marché a une influence néfaste sur notre alimentation. Le modèle agricole conventionnel qui domine en Occident depuis les années 60 a généré une abondance alimentaire excessive. L’agriculture conventionnelle détruit notre environnement par l’usage d’intrants chimiques (pesticides, engrais de synthèse) et par une forme de production industrielle qui ne tient pas compte des équilibres des écosystèmes naturels. Que ce passera-t-il quand les prix des carburants grimperons ? Pourra-t’on encore nourrir nos familles ?
    • POPULATION MONDIALE, AGRICULTURE ET MALNUTRITION ( du magazine l’état de la planète) L’augmentation de la production de nourriture par hectare de terre ne va pas de pair avec l’augmentation de la population, et la planète n’a virtuellement plus de terres arables ou d’eau douce en réserve. En conséquence, la surface de terre cultivable par personne a diminué plus que de moitié depuis 1960, et la production par personne de céréales, la nourriture de base, est en baisse partout dans le monde depuis 20 ans. Il est illusoir de penser que nous pourrons continuer à manger tant de produits animaux san menacer gravement les équilibres de la planète
    • L’alimentation animale. ( de la Coordination Paysanne Européenne) L’alimentation animale est un pivot de toute politique agricole. Elle est un élément stratégique des rapports de force entre les Etats-Unis et l’Union Européenne. L’absence de protection douanière pour l’alimentation animale lors de la création de la Politique Agricole Commune en 1962 a perverti l’ensemble de la PAC et conduit à des dégâts et des coûts démesurés tant en Europe que dans les pays du Sud. Les scandales européens de l’ESB, de la dioxine, et plus généralement de l’élevage industrialisé (antibiotiques, activateurs de croissance,…) , tous liés à l’alimentation animale ont montré les conséquences catastrophiques pour la population de cet élevage industrialisé, favorisé par la dérégulation / mondialisation de l’alimentation animale.
    • Guide pour une bonne alimentation : Ce guide a été conçu pour apporter à l’ensemble de la population des repères clairs et fiables pour acquérir de bonnes habitudes alimentaires et pratiquer une activité physique suffisante. Il s’inscrit dans les actions menées dans le cadre du Plan National Nutrition Santé (PNNS), dont l’objectif est d’améliorer l’état de santé de la population belge.
    • LESS HEAT, LESS MEAT BUT WHICH MEAT ? Thérèse Snoy, députée fédérale Ecolo / Groen ! et administratrice d’Etopia : La question que chacun se pose aujourd’hui, au Nord comme au Sud, est de savoir comment la Terre va pouvoir nourrir durablement une population mondiale qui risque d’atteindre les 9 milliards d’êtres humains en 2050, et dont les besoins nutritionnels doivent être mieux couverts qu’aujourd’hui – et plus équitablement.
    • Quand la vache du riche affame le monde . Écologie, ou quand l’Europe utilise sept fois sa superficie agricole en terres du Tiers-Monde pour la production d’aliments destinés à son bétail . Le cheptel des animaux d’élevage croît en effet beaucoup plus vite que la population humaine. Selon les données de la FAO, l’ensemble {bovins, caprins, porcins, ovins, volailles, canards, oies, dindes} a augmenté en nombre de têtes de 2,7 % en moyenne par an entre 1961 et 2001, et ne montre pas récemment de tendance à la diminution. Nous partagions la planète avec 6,954 milliards de têtes en 1961 et avec 20,100 milliards de têtes en 2001. Si cette tendance devait continuer sous sa forme quasi linéaire actuelle, l’année 2050 verrait cohabiter 10 milliards d’humains et 36 milliards de divers animaux d’élevage. Gare à la surcharge. Cet article est paru dans la revue L’Écologiste (N°7, Juin 2002)
    • Consommation de viande : un lourd tribut environnemental . (Un dossier de l’Observatoire Bruxellois de la Consommation Durable – OBCD et du CRIOC). Pour la plupart des consommateurs belges, la viande est un aliment quotidien, constituant la base des repas. En moyenne, ils en consomment plus de 270 gr par jour. Il n’en a pas toujours été ainsi. Autrefois la viande était un aliment de luxe réservé aux grandes occasions et aux ménages les plus nantis. Au cours du siècle dernier, la consommation de viande est passée de 30 kg par personne et par an en 1919 à plus de 100 kg par personne et par an aujourd’hui. Parallèlement à l’augmentation de la consommation de viande, les méthodes d’élevage se sont modifiées. De petits élevages destinés principalement à la consommation privée, on est passés à des élevages de grande taille recourant à des méthodes industrielles, orientés vers la vente. Une des caractéristiques des élevages industriels est le recours aux aliments concentrés, conçus pour favoriser une croissance importante et rapide. La production de ces aliments et l’élevage monopolisent aujourd’hui 78% des terres agricoles mondiales
    • « 1 MILLIARD D’HECTARES STERILISES EN UN SIECLE ? IL EST GRAND TEMPS DE SOIGNER LES SOLS ! »
      (Par Lydia & Pr. Claude Bourguignon). La microbiologie, science des sols tant méprisée par les « tout hig tech », reprend son droit de cité. Il y urgence, une urgence qui se mesure au nombre d’hectares perdus chaque année, 225 000 hectares par an. Elle se mesure encore plus à l’aune de ce chiffre qui laisse à méditer : un milliard d’hectares de terres fertiles ont été stérilisés en un siècle par l’agro-chimie, soit 25 % des terres cultivables planétaires. Aux Etats-Unis, ce chiffre monte à 28 %. Le professeur Bourguignon déclare : « Les sols lâchent. Ils sont en train de lâcher. PARTOUT. Il faut s’en occuper ! Où nous risquons de voir resurgir les famines à une échelle jamais vue auparavant dans l’histoire de l’humanité ».
    • LE VEGETARISME ET LA SANTE DE LA PLANETE (de Michael Allen Fox) . Plaidoyer en faveur du végétarisme, seul moyen, selon lui, de reprendre contact avec la nature et, par là, de nous aider à aimer notre planète et tous ceux qui vivent dessus. (Michael Allen Fox est professeur de philosophie à la Queen’s U-('niversity, Kingston,)
    • «Pour un petit morceau de viande…» Une étudiante en médecine vétérinaire en stage dans un abattoir Christiane M. Haupt a effectué un stage dans un abattoir au cours de ses études pour
      devenir vétérinaire. Elle raconte
    • MONOCULTURE DE SOJA EN AMÉRIQUE DU SUD : UNE CATASTROPHE HUMAINE ET ÉCOLOGIQUE (WWF) Ce soja, il va sans dire, est exporté en masse à destination du bétail et des volailles en Amérique du Nord, Europe, Chine, etc.

Vidéo

What a difference a day makes (music by Moby) Un clip qui démontre qu’arrêter de manger de la viande seulement un jour par semaine peut faire beaucoup de différences (Clip d’animal aid)

Une association américaine de médecins a fait réaliser un spot publicitaire ouvertement anti-McDonald’s. Ce clip sera diffusé sur la télé américaine, à l’heure de la très populaire émission « TheDaily Show ». On y voit une femme pleurant la mort de son mari, dont le corps est allongé devant elle, un hamburger à la main. La caméra tourne autour des personnages avant de s’arrêter sur les pieds du cadavre. L’arche jaune familière se dessine autour, avant qu’apparaisse le slogan « I was loving it » (« C’était tout ce que j’aimais »), en référence au message habituel de la marque de fast-food, « I’m loving it ». « Un taux élevé de cholestérol, une pression artérielle élevée, des crises cardiaques. Ce soir, mangez végétarien, » entend-on.

Powerpoint

Enregistrement radio