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VTopia – premier projet d’agriculture végane en Belgique !

VTopia, c’est quoi ?

Il s’agit du premier projet d’agriculture végane en Belgique, une agriculture sans l’exploitation d’animaux et sans pesticides ! Des processus agricoles qui ne comprendront aucune composante animale (fumier, lisier, etc) dans l’ensemble du cycle de production.

L’ASBL Végétik est fière de participer au projet VTOPIA et nous appelons tous les véganes et tous les végétariens du Monde à soutenir ce type d’agriculture car sans elle, le véganisme reste un idéal éloigné.

Toutes les infos sur www.vtopia.be

La Nutri By Ségo à Namur !!!

Si vous avez envie d’améliorer votre alimentation n’hésitez pas à suivre les formations de Ségolène . Cette passionnée est pharmacienne et nutritionniste, une association de compétences assez rare. Et bien entendu , notre partenaire valorise l’alimentation végétale après des participants. Cette jeune maman peut aussi vous éclairer si vous avez un bébé veggie et que vous souhaitez toutes les infos pour qu’il soit en pleine santé

Où : à la Maison de l’Ecologie (rue Basse Marcelle, 26 à 5000 Namur)

Quand : Les 23 février, 29 mars, 26 avril et 24 mai 2020

Quoi :
– Introduction à la nutrition pour une alimentation plus intelligente
– Conserver un poids santé
– L’alimentation du sportif
– Stress, dépression et burn-out, et si une part des solutions étaient dans l’assiette?

Inscriptions :

Journée du 23 Février
Journée du 29 mars
Journée du 26 avril
Journée du 24 mai
MILLE MERCIS!!!
Ségo

L’immense partie du territoire Wallon non urbain sert à produire de la bidoche

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Il existe des porcs élevés en plein air en Wallonie, mais en 30 ans de promenades , je n’en ai vu qu’une fois du côté d’Aubel et il n’y en avait royalement que 4 dans un pré. S’ils existent ces porcs libérés , où sont-ils ? On produit 30 000 porcs bio en Wallonie , cela n’implique d’ailleurs pas qu’ils puissent sortir, car le bio est également devenu une industrie. Mais nous en tuons 12 millions par ans en Belgique (ce qui nous donne un ratio porc chanceux/ porc crevard assez faible). Qu’il existe quelques animaux livrés à des éleveurs respectueux , j’en conviens, mais 1) ils sont livrés (donc considérés comme de la marchandise, des objets utilisés pour une finalité financière) 2) cela ne doit pas être l’argument utilisé à tout bout de champ pour justifier la complaisance, la complicité de la population vis-à-vis des camps de concentration animale ( point Godwin ? non désolé le mot « concentrationnaire » est factuel et ne doit pas être confondu avec camp « d’extermination » qui lui ne convient pas ) disséminés un peu partout dans nos campagnes. J’ai personnellement été visité un élevage de Blanc Bleu Belge – BBB présenté comme vertueux, qui en parallèle, élevait des poules dans un hangar concentrationnaire.

En Wallonie on nous présente toujours les bovins quand on veut donner une bonne image de l’élevage, car ce sont les seuls animaux élevés en plein air (à l’exception de quelques élevages de poules) . Mais ils ne représentent que 5 % des 25 millions d’animaux tués chaque année dans notre région.

En conclusion, la persistance de la mouvance écolo (les autres, n’en parlons même pas) de montrer les quelques élevages vertueux comme la solution au biocide causé par l’élevage (je compte les animaux tués pour l’alimentation + ceux tués pour permettre la production de végétaux destinés à ces animaux – 90 % des céréales wallonnes servent à nourrir nos animaux d’élevage) est un énième effet de la dissonance cognitive dans laquelle se réfugient tant de gens.

Alors que le facteur alimentation carnée est le 2e facteur incriminé dans les émissions de GES et qu’il est le premier au niveau de la disparition des espèces, les écolos nous proposent (avec peu de convictions) un jour sans viande dans les cantines et axent toutes leurs propositions sur des mesures visant les milieux urbains ou résidentiels (leur électorat : isolation des maisons , piste cyclable , transport en commun) . Le vivant lui , continue à périr là ou il y en a encore un peu, c.-à-d. dans nos campagnes (disparition des oiseaux et des animaux des plaines à cause des monocultures industrielles) et nos forêts (les chasseurs relâchent 144 000 faisans et perdrix chaque année – tuent les renards qu’ils considèrent comme des concurrents – nourrissent les sangliers et les chevreuils pendant l’hiver pour s’assurer de beaux tableaux de chasse) .

Qui peut contester que l’immense partie du monde vivant wallon est sacrifiée sur l’autel de la bidoche ( chasse – élevage ) et des produits laitiers ? Il y aura de l’écologie en Wallonie quand le ministre de l’Agriculture ne sera pas un porte-parole de la FWA ( Fédération wallonne des Agriculteurs ) et du Royal Saint-Hubert Club (chasse) comme l’est visiblement Mr Borsu et Mr Collin (1) .

La viande et le lait ne sont pas nécessaires à une alimentation équilibrée et se situent en haut de la pyramide alimentaire, ce qui signifie que ces aliments doivent être consommés avec parcimonie . Par contre, les fruits, légumes, légumineuses et céréales sont nécessaires pour vivre en bonne santé. Bizarrement, notre agriculture (et les millions de subventions qui vont avec) est essentiellement consacrée à des aliments dispensables, et gloutons en terres, engrais, pesticides et dont le bilan carbone est très problématique à un moment où notre histoire est marquée par un changement climatique qui va rendre notre planète inhabitable pour notre espèce (si on dépasse les 450 ppm de Co2/ m3 et on en est aujourd’hui à 417 avec une belle augmentation suite aux feux géants Amazonien et Australien )

(1) Mr Collin a été président en 2014 de l’Association de Défense des Producteurs Laitiers et Monsieur Borsu, en bon condruzien a été élu par un électorat vivant dans des communes dont l’économie est centrée sur la production de viande de BBB et de lait d’Holstein . Des races artificielles à hauts rendements nécessitant un très grand apport en céréales et en soja. Par ailleurs les meilleurs terres wallonnes ( les terres limoneuses ) servent à produire des céréales qui iront majoritairement engraisser poules, veaux , vaches , cochons alors qu’elles pourraient être beaucoup plus profitables à la production d’aliments directement destinés aux humains.

Source du graphique: État des lieux des flux céréaliers en Wallonie selon
différentes filières d’utilisation https://popups.uliege.be/1780-4507/index.php?id=16836&file=1&pid=11161

F.Derzelle

Président de Végétik

MANIF Stop aux Dérives de la Chasse (21 Mars)

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Soyons nombreux à manifester le 21 mars 2020 à 11h devant le cabinet de Monsieur le Ministre Willy Borsus !

Stop au diktat des chasseurs dans la sphère politique ⛔

Il est temps que le mouvement citoyen Stop Dérives Chasse fort de 30.000 signataires et fédéré par 56 associations soucieuses de la biodiversité, des usagers et du bien-être animal marque le coup une bonne fois pour toute ?

Ensemble, faisons évoluer la loi concernant la chasse qui date de 1882, si l’on veut préserver nos forêts et les animaux sauvages qui y habitent ?????????

Mettons un terme aux dérives de la chasse !

RDV :
Place des Célestines, 5100 Namur
21 mars 2020
11h sur place

Pour plus d’informations : www.stopderiveschasse.be
Pour toute question : info@stopderiveschasse.be

Quand le lait disparaît du guide alimentaire canadien

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Les recherches récentes ont démontré que le lait ne renforçait pas les os que du contraire les pays qui boivent le plus de lait , les pays scandinaves, sont ceux qui ont le plus de problèmes d’ostéoporose. De plus, le lait est riche en graisses et en protéines que le régime alimentaire moderne contient déjà en trop grande quantité. Sans compter qu’il est le premier allergène chez l’enfant et que 70% des humains sont intolérants au lactose ( le sucre du lait ) . Mais en plus, on soupçonne le lait d’avoir des effets sur le cancer du sein et d’autres cancers hormone-dépendants. De quoi faire disparaître le lait des conseils nutritionnels des pays européens, mais c’est sans compter la filière laitière qui dépense des milliards en publicité et en lobbying pour créer de la confusion. La Belgique et spécialement la Wallonie est une grande productrice de lait et donc ce petit manège perdure. Tandis que l’Académie de médecine belge s’attaque au végétalisme avec légèreté et assez peu de discernement , on continue dans notre pays de favoriser la consommation de lait . Industrie qui est d’ailleurs subventionnée avec nos impôts, mais nous subventionnons aussi l’APAQ-W qui utilise ses 5 millions d’euros de dotation en campagnes de marketing afin de nous inciter à consommer du lait. Bravo aux autorités du Canada de faire leur job correctement et honte à notre ministère de la santé qui se couche en permanence devant le ministère de l’Agriculture qui se couche lui-même devant le syndicat des producteurs !

L’élevage coûte plus cher en dommages à la santé qu’il ne contribue à l’économie

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Traduction de l’article de Jeff McMahon

Les fermes américaines coûtent plus cher à l’économie en dommages à la santé et à l’environnement qu’elles ne contribuent à l’économie, selon une étude récente publiée dans la publication de la National Academy of the Sciences.

Pour 20 secteurs économiques, l’étude compare le coût des décès prématurés dus à la pollution atmosphérique particulaire à la valeur ajoutée à l’économie. Les exploitations ont enregistré les pires résultats, tirées par l’agriculture animale.

«À la marge, nous constatons que les dommages causés par la pollution de l’air par les fermes sont plus importants que la valeur marginale que les fermes fournissent en termes économiques», a déclaré le co-auteur Inês ML Azevedo, professeur agrégé au Département de l’énergie de l’Université de Stanford. Ingénierie des ressources.

L’ étude , menée avec des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon, se concentre sur la pollution particulaire , y compris les PM 2,5, que l’EPA a identifié comme la cause de 90 pour cent des 100000 décès prématurés annuels aux États-Unis à cause de la pollution atmosphérique.

L’étude n’inclut pas les coûts de santé liés à la consommation de produits d’origine animale , ni les coûts économiques d’autres formes de pollution, telles que les émissions de gaz à effet de serre et leur impact sur le climat .

Comme pour le climat, le principal coupable est la viande et les produits laitiers. Mais en ce qui concerne la pollution particulaire, le pire délinquant est la volaille.

Pour chaque secteur de l’économie, les chercheurs ont développé des ratios de dommages économiques bruts (GED) à la valeur ajoutée (VA). Un rapport GED / VA inférieur à un signifie que la valeur dépasse les dommages. Un nombre supérieur à un signifie que les dommages dépassent la valeur:

« Alors que le ratio GED / VA était de 0,72 pour le groupe des industries productrices de cultures en 2014, il était de 2,0 pour la production animale cette année-là », indique l’étude. « Les calculs préliminaires indiquent que le ratio GED / VA dans ce groupe est le plus élevé pour l’industrie de la volaille, avec une fourchette estimée de 3 à 7. »

La litière de volaille émet une pollution particulaire et de l’ammoniac. L’ammoniac se combine avec d’autres polluants – le dioxyde de soufre et l’oxyde nitreux, a déclaré Azevedo, pour produire une source secondaire de PM 2,5 mortels supplémentaires.

Azevedo considère ces résultats comme un appel à évaluer le fonctionnement du secteur.

« Ce travail ne préconise pas que nous fermions l’agriculture aux États-Unis », a-t-elle déclaré dans une vidéo publiée ce mois-ci par Stanford. «Cela donne l’intuition que, à la marge, les dommages sont plus importants que la valeur fournie. Nous devrons donc réfléchir plus sérieusement au secteur. »

Dans un commentaire publié dans le même numéro du PNAS, l’économiste Juan Moreno-Cruz déclare: «Les émissions agricoles restent obstinément élevées et affichent une tendance stable, faisant de l’agriculture l’une des industries les plus polluantes par dollar aux États-Unis actuellement.»

Les services publics étaient dans le même bateau en 2008 – produisant plus de dommages que de valeur à la marge – mais les services publics ont quelque peu assaini leur action grâce en grande partie à la fermeture des centrales au charbon .

L’étude attribue une partie de la baisse de la pollution des services publics et de la fabrication à la Grande Récession.

« Pour l’instant, seuls la production animale et l’agriculture ont des dommages bien plus importants que la valeur ajoutée », a expliqué Azevedo.

Les émissions provenant des transports ont également baissé, mais demeurent une préoccupation dans les secteurs moins réglementés du secteur: «Les principales sources de dommages à la fois pour les NOx et les PM2,5 primaires dans le secteur des transports proviennent des camions et de la combustion du diesel dans le transport maritime et ferroviaire», indique l’étude. .

Azevedo ajoute: « Nos résultats suggèrent que les décideurs politiques devraient envisager de cibler leurs réductions d’émissions, si cela est rentable, dans les transports et dans l’agriculture. »

 

Atelier pâtisserie de Noël à Bruxelles le 13 déc

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Chères/Chers Ami.e.s,

Nous avons le plaisir de vous proposer un atelier cuisine EasyVeggie spécial pâtisseries de Noël !

Cours du vendredi 13 décembre:

Avec Alexis, à Schaerbeek (adresse communiquée par email lors de l’inscription)

Truffes aux 3 saveurs

– Framboises
– Spéculoos
– Graines de Tournesol

Bûche de Noël à la poire, noisettes et chocolat

L’atelier EasyVeggie comprend le cours cuisine + dégustation (ou reprendre) les desserts préparés le soir même.

Il se déroulera de 19h à 22h.

Le tout est à 35 € par personne.
L’inscription sera validée qu’une fois le payement effectué.

Envie d’y participer? Envoyez un email à vegetikbruxelles@outlook.com
Toutes les informations pratiques (adresse précise, modalités de payement) vous seront communiquées lors de votre inscription.

Merci de prendre en compte que nous avons un nombre limité d’inscrits et que toute inscription est considérée comme valide sans annulation de votre part. Toute annulation ou désinscription doit nous être communiquée au plus vite afin que nous puissions laisser la place à d’autres personnes.

A très bientôt!

Elodie d’Halluweyn

Végétikement,

Végétik Bruxelles

Exigeons que l’alimentation végétale soient à l’ordre du jour de la COP 25

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Nous, soussignés, demandons au président de la Conférence des Parties (COP 25) d’examiner avec nos dirigeants mondiaux les points suivants: réduire nos émissions mondiales de gaz à effet de serre en excluant les produits animaux de notre régime alimentaire.

Chère Carolina Schmidt,

Nous écrivons cette pétition pour vous demander de discuter avec nos dirigeants mondiaux lors de la COP 25 des points suivants: réduire nos émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) en excluant les produits d’origine animale de notre alimentation.

Tout doit être fait pour réduire nos émissions mondiales de GES et pour séquestrer le CO2 de l’atmosphère. La plupart des conférences sur les changements climatiques se concentrent – et se sont concentrées – sur les combustibles fossiles et nous sommes profondément convaincus qu’il est également urgent de commencer à parler de ce que nous mangeons.

Une méta-analyse publiée dans Science par Joseph Poore et Thomas Nemecek a analysé les moyens de réduire les impacts environnementaux de l’alimentation. Leur «ensemble de données couvre environ 38 700 fermes commercialement viables dans 119 pays et 40 produits représentant environ 90% de la consommation mondiale de protéines et de calories» ( 1 ). L’une de leurs principales conclusions est qu’un changement mondial vers un régime alimentaire qui exclut les produits d’origine animale «permet de réduire de 28% les émissions mondiales de gaz à effet de serre dans tous les secteurs de l’économie par rapport aux émissions de 2010» ( 2 ). Cette réduction est due à la réduction des émissions et à la capacité de puits de carbone des arbres qui pourront pousser sur des terres précédemment déboisées et qui ne sont plus nécessaires pour produire de la nourriture pour le bétail et les humains.

Joseph Poore a également donné une conférence sur son article qui faisait partie de la série de conférences sur le climat de Cambridge. Tandis qu’il s’adressait à son auditoire, il a souligné que «pour un consommateur moyen typique, un changement de régime n’est pas simplement le meilleur moyen de réduire vos émissions de gaz à effet de serre. C’est le moyen le plus efficace de réduire votre utilisation des terres, votre impact sur la biodiversité, la pollution de l’azote et du phosphore causée par votre nourriture, les pluies acides, l’utilisation de l’eau, et probablement – bien que nous ne l’ayons pas spécifiquement mesurée – les pesticides et l’utilisation d’antibiotiques causée par le système alimentaire. En termes simples, éviter la viande et les produits laitiers est probablement le moyen le plus efficace de réduire votre impact sur la planète »( 3). Il a enfin mentionné que «le changement de régime alimentaire libère essentiellement les terres dont nous avons besoin pour produire les émissions négatives ambitieuses du récent rapport de 1,5 ° du GIEC» ( 3 ).

L’étude de Poore et Nemecek est une information vitale. Leurs conclusions doivent être connues du grand public et de nos dirigeants mondiaux. Nous avons la clé pour commencer à résoudre notre crise climatique et à créer un monde plus durable pour les générations futures.

Nous pensons que les précédentes COP n’ont pas correctement pris en compte le fait qu’exclure les produits d’origine animale de notre alimentation réduisent nos émissions mondiales de GES et nous reconnaissons qu’une énorme opportunité a été manquée. Nous pensons également qu’il n’est pas utile de parler de ce que nous n’avions pas fait par le passé. En effet, le changement climatique n’est que notre présent et notre avenir. Nous croyons enfin dans le dicton «Mieux vaut tard que jamais» et nous espérons vraiment que vous aurez l’occasion de lire le journal de Poore et Nemecek et d’assister à la conférence de Poore.

Dans un monde où les jeunes manifestent pour demander à leurs gouvernements de lutter contre le changement climatique, ne serait-il pas merveilleux que ces gouvernements autonomisent leurs citoyens en leur disant qu’exclure les produits d’origine animale de leur régime réduit leurs émissions de GES de 28% au niveau mondial?

Cordialement,

Vincent Penoy et Cindy Veltens

1. Poore, J. et Nemecek, T., 2018. Réduction des impacts environnementaux des aliments par le biais des producteurs et des consommateurs. Science, 360 (6392), pages 987 à 992.

2. Poore et Nemecek 2019, Erratum pour l’article de recherche «Réduire les impacts environnementaux des produits alimentaires grâce aux producteurs et aux consommateurs» par J. Poore et T. Nemecek, Science, consulté le 12 novembre 2019, < https://science.sciencemag.org/content / 363/6429 / eaaw9908 >.

3. Série de conférences sur le climat de Cambridge (2019). Conférence 3. Joseph Poore « Faire face au climat par le biais de l’alimentation » # ccls2019. Disponible à l’ adresse :  https://www.youtube.com/watch?v=8miQs3mPGu8&t=2356s  (consulté le 18 novembre 2019).

Présentation du roman : Le vert et le rouge

Ouvrir un restaurant végétarien à Rennes, ville emblématique de l’élevage de cochons ? C’est l’idée téméraire qu’a eue Léa en créant « La Dame Verte », le temple du tofu aux cacahuètes, des fleurs de courgette, ou du foie gras végétal… Forcément, malgré tout le talent de la jeune femme, le restaurant est au bord de la faillite.

Critique

Oui, c’est une agréable découverte de la cuisine végétarienne.

Oui, c’est une confrontation des arguments  pour et contre le végétarisme.

Oui, c’est une approche des grands enjeux de notre société de consommation.

 et c’est aussi  l’histoire d’un amour improbable…

Le tout habilement « mixé » au grand plaisir du lecteur qui y trouve des personnages finement croqués incarnant différents types de végétariens, des plus radicaux aux plus modérés et aussi leurs opposants, certains acharnés et capables du pire.

Dans ce récit alerte, il y a du suspense, des coups de théâtre, des scènes émouvantes et des affrontements violents, mais aussi des informations scientifiques claires et précises ouvrant aux lecteurs d’intéressantes pistes de réflexion.

En bref, ce roman offre un agréable moment de lecture aux végétariens convaincus qui se reconnaîtront avec plaisir dans l’un ou l’autre personnage et à tous les curieux soucieux de se libérer des préjugés et de trouver des réponses sérieuses à leurs interrogations sur un choix de vie essentiel pour la sauvegarde de la vie sur terre.

Par Annie De Mori

 

Conférence de Guillaume Corpard à Namur

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ATTENTION SOIRÉE LIMITÉE à 90 places ! Conférence + repas avec Guillaume et l’équipe de Happy Earth Now.

Conférence « Un Cri pour la Terre : Animaux, Humains, Planète »‘ de Guillaume CORPARD, à Namur !

Guillaume nous fait le plaisir d’animer sa célèbre conférence en Belgique. Prenons des décisions maintenant, pour nous transformer et changer le monde. Ce sera le dimanche 6 Octobre, pour une soirée spéciale…

Cette conférence est à voir au moins une fois dans sa vie, ne la ratez pas !

L’auteur du livre « Un cri pour la Terre » dévoile le rapport entre le saccage de la planète, la souffrance des animaux et notre santé. Ces conférences ne laissent personne indifférent : Guillaume nous confie des solutions concrètes pour vivre en harmonie avec toute forme de vie, sans distinction.

Une conférence qui traite plusieurs sujets d’actualités :

– ALIMENTATION ET SANTÉ
– Dérèglement climatique,
– Écosystèmes saccagés,
– Animaux
– SOLUTIONS

Fabuleux orateur, il tient un discours tolérant, accrocheur et touchant ! La conférence est animée, vivante et pleine d’espoir…

Au programme associations et stands, restauration végétale sur place inclus dans le prix.

Rencontre avec cet homme engagé aux multiples casquettes : conférencier, auteur, musicien et réalisateur. Avec humour, force et conviction, Guillaume lance l’un des messages les plus importants à transmettre aujourd’hui. De l’information aux solutions, du rire aux larmes…

L’auteur du livre « Un Cri pour la Terre » traite 4 points importants : les animaux, l’écologie, notre santé, l’alimentation…

 

Conférence suivie d’un buffet savoureux chez www.vegetalicia.be ?
Conférence + buffet : 18€
? Places limitées : 90 personnes max.
?Un bar sera également à votre disposition (boissons non comprises dans le tarif)
? Des stands d’infos de plusieurs associations (à définir)
? Gare de Jambes à 200m
?️ Parking Acinapolis gratuit

? réservations bit.ly/2J3j64V ? événement Facebook bit.ly/307tUG3 www.happy-earth-now.com